En 28 ans, la présence de contenu venant des relations publiques dans les nouvelles a augmenté de 40 à 60 % dans les principaux quotidiens québécois.
Des réactions de journalistes
« Les résultats ne me surprennent pas. Et les breaking news, c’est probablement plus élevé. Le premier spin, c’est les relations publiques. Le problème, c’est que ton article plus fouillé, qui pourrait contredire le spin, va rouler moins et plus tard. »
« Les institutions envoient un communiqué laconique en fin de journée, puis elles ne sont plus là pour répondre. Tout ce qu’on a, c’est un communiqué de presse. Elles le savent. Même si ça ne me satisfait pas, je vais publier quand même. »
« Des bons PR, qui sont efficaces, c’est quasiment mes adjoints. »
« C’est à toi, le journaliste, de te débrouiller avec ça. C’est très utile dans le métier, les relationnistes. Je n’ai pas d’a priori à l’égard des relationnistes. »